“Aimer, ce n’est pas seulement vouloir, c’est surtout comprendre”. Oui, on me répète aussi souvent cette phrase et pourtant j’ai toujours fait l’essentiel poir essayer de me mettre à ta place et comprendre ce que tu traverses, te tracasses et qui te mets en colère. Tu me repousses tout le temps et me considère comme une inconnue. Je passes mon temps à te connaitre, à t’offrir une totale attention, tu occupes mes pensées et je fais en sorte d’être toujours là pour te remonter le moral. Quoi faire pour te montrer à quel point je te veux dans ma vie?
J’ai toujours dit que je ne voudrais plus me donner corps et âme dans une relation mais la sensation qui m’a envahit tout au long de nos nombreuses conversations, m’a poussé à t’offrir mon coeur sans retenu. Je sais que je ne suis pas parfaite et que j’ai commis d’énormes erreurs mais une chose est sûre, je veux t’aimer. On a eu des moments de fou-rire, on s’est abandoné l’un à l’autre, on a passé de longs moments au téléphone, des nuits à rire à coeur joie. Tu m’as avoué que tu ne sais plus comment faire confiance alors je veux que tu me laisses une petite chance de te prouver mon amour.
Je n’ai jamais eu de chance en amour et pourtant je suis prête à t’offrir le meilleur de moi pour entamer une relation stable et sincère avec une personne comme toi. Ton caractère, ta façon de me repousser à chaque fois que tu te sens affaibli me font chier. Malgré tout, je veux faire de mon mieux pour être avec toi. Comment t’aimer? Que dois-je faire pour être avec toi? Comment dois-je m’y prendre? Dis moi. Laisses moi t’offrir mon amour! Je veux souffrir avec toi et prendre toutes tes souffrances si j’en avais le choix.
On m’a appris à exprimer ce que je ressens et je te l’ai déclaré sincèrement. Je veux faire partie de ta vie, t’aimer, apprendre à te connaitre davantage et avoir des enfants avec toi. Je me battais contre mes sentiments pour éviter de souffrir et pourtant on a créé tellement de liens, d’habitudes que je n’arrive pas à tenir quelques secondes sans te parler, sans lire tes messages et entendre ta douce voix. Ta façon de me répondre au téléphone et de prononcer mon nom, tout ça me manque.
A quoi bon parler de sentiments, si je ne les ressens pas. A quoi bon prétendre ressentir autant d’émotions pour toi si ce n’était pas le cas. Pourquoi doutes-tu de moi? Je veux de toi dans ma vie, je veux ressentir la douceur de ta peau sur la mienne et le goût de tes magnifiques lèvres sur les miennes. T’emmener jusqu’à l’extase et faire de toi la personne la plus heureuse du monde. Je sais comment faire quand on aime une personne et face à toi, je ne sais plus comment aimer. Tu me donnes du fil à retordre, t’es comme un labyrinthe à chaque route empruntée je me retrouve toujours au point de départ.
On m’a appris qu’Aimer quelqu’un cela veut dire apporter son soutien à l’autre dans les bons moments, comme dans les mauvais. Même si on n’est pas forcément d’accord avec le choix de son partenaire. C’est vrai, parfois je ne suis pas en accord avec toi, mais je veux te faire part de mes opinions et je veux te laisser libre champs dans ma vie. Tu te plains souvent de mon silence, aujourd’hui je veux te parler davantage, t’avouer à quel point je veux avoir une relation avec toi. Tu m’as dit que je ne montre jamais mes sentiments, je suis trop stricte. Tu as raison, j’ai peur d’être blessée encore une fois et je veux te laisser la chance de mieux me connaitre.
Si tu crois que m’aimer va t’apporter des problèmes, parles en avec moi. Si je t’ai abandonné sur les réseaux sociaux car la distance nous fait défaut, rappelles moi à l’ordre. Tu m’as demandé de ne plus être fâchée contre toi et de te punir d’une autre manière puisque mon absence te fait du mal. Alors qu’attends-tu pour déguster cet amour, pour t’abandonner à moi sans retenu? Si t’as peur, je te dis maintenant de vaincre cette peur et d’avancer directement vers moi. Je suis ta joie, ton support, ton ancrage, je suis tout ce que tu voudrais que je sois. Laisses moi juste t’aimer. Je ne te ferai pas souffrir et je prendrai soin de toi passionnément.
Par Esther V. (Bibi toutan)